Trois ans après son lancement, le SUV compact du losange, l’Austral, se refait une beauté au cap de la mi-carrière et adopte logiquement le nouveau langage stylistique de la marque.
Pas de doute, l’Austral a réussi sa première partie de vie, remplaçant avec succès le fade Kadjar. Arrivé logiquement au cap de la mi-carrière, le Renault Austral s’offre donc une mise à jour essentiellement concentrée sur le style extérieur avec une face avant intégralement redessinée et qui prend un accent très Renault Rafale, ce qui ne devrait pas déplaire tellement le Rafale séduit pour son style. Ce petit « Rafale » gagne en même temps quelques centimètres par la forme des boucliers uniquement. A l’intérieur, si la planche de bord n’évolue pas, les sièges du conducteur et du passager avant sont nouveaux afin d’offrir un meilleur maintien latéral. Technologiquement, Renault introduit aussi de l’IA à bord avec un système de reconnaissance faciale pour ouvrir la voiture et qui permet ainsi d’avoir une personnalisation optimale des réglages enregistrées pour chaque conducteur. Sous le capot, Renault a simplifié la gamme puisqu’il ne reste désormais, en France, qu’un seul et unique moteur comme pour l’Espace, le E-Tech Hybrid 200 ch qui bénéficie d’une amélioration de la gestion électronique de sa boite de vitesse. On note également une optimisation de l’amortissement afin de le rendre un peu moins ferme à basse vitesse comme c’était le cas sur le première génération avec des trépidations. Enfin, Renault fait également le « ménage » dans les finitions qui sont désormais au nombre de trois : Evolution, Techno et Esprit Alpine en haut de gamme. Pour les tarifs, un peu de patience.
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